Explorer l’histoire de Victorine de Chastenay
Découvrez les missions et les activités de la Société Historique des Ami(e)s de Victorine de Chastenay, dédié à valoriser et partager les écrits de cette érudite française.


Nos missions
Cette section présente succinctement les missions de l’association.

Promotion du patrimoine culturel
Cette initiative étudie et valorise l’héritage de Victorine de Chastenay, en soulignant son rôle historique et en promouvant sa participation dans la construction des savoirs en tant que biens communs dans la société.

Organisation de conférences et d’ateliers
Ces événements favorisent l’échange et la découverte, créant un lien vivant entre le passé et le présent, tout en enrichissant la compréhension collective de l’histoire locale et nationale.

Publication et recherche
Nos publications et travaux de recherche approfondissent la connaissance de Victorine de Chastenay et de ses contemporain(e)s, offrant ressources et analyses précieuses pour les passionné(e)s d’histoire et les chercheuses et chercheurs.
Explorer l’héritage de Victorine de Chastenay
Au travers des manuscrits inédits de Victorine de Chastenay, voyagez dans la société française des XVIIIe et XIXe siècles et explorez ses écrits du for intérieur, ses notes de lecture, ses correspondances, ses notes de cours, etc. Participez à la mise en lumière de ses manuscrits.




Témoignages de Victorine de Chastenay
Découvrez les petites phrases de Victorine de Chastenay qui témoignent de sa passion pour l’étude, des normes de son époque et de ses convictions.
Je n’ai pas le dessin d’imprimer tout ce que je me propose d’écrire ; ceux qui me survivront jugeront de l’intérêt que ma relation peut avoir, ils en disposeront à leur gré. J’écris pour être lue un jour, je pense que mon récit pourra devenir utile, parce qu’il sera vrai.
Mémoires, t. 1, p. vii
Le goût passionné de l’étude doit tenir quelque chose de la liberté.
[…] J’aimais l’étude avec passion.
Mémoires, t. 1, p. 29 et 36
J’avais déjà eu à souffrir de l’aristocratie des vieilles douairières et du fardeau dont m’avait accablée la médiocrité, qui s’appelait bon sens et détestait le savoir dans la nation et les talents dans une jeune fille. […] L’idée de n’être rien quand le mérite allait être tout, ne me laissait pas fermer les yeux : je lisais au lieu de dormir. […] qu’on ne s’y trompe pas, c’était la gloire qui me passionnait, c’était la gloire elle seule.
Mémoires, t. 1, p. 115